Jean Rougé

Peintures
Grands
formats

Peintures à l’huile sur toile, kakémonos (sans châssis, en rouleau, toiles tendues en haut et en bas), signées au dos

Depuis toujours je me sens spectateur de la vie puissante, de l’énergie qui m’entoure et qui me constitue.

Ma peinture est le témoignage de cet émerveillement, je ne vois que la beauté, je tue en moi tout ce qui ne s’accorde pas à cette harmonie.

Jean Rougé Au commencement l'oiseau
Lorsque je travaille je n’ai pas de mots, seulement des désirs : désir de présence, désir de soutien, de creux profond comme un gouffre, de caresses légères ou d’écrasements.
Tout ça cohabite dans un invraisemblable méli-mélo, le tohu-bohu initial.
J’apaise ensuite, sélectionne, valorise certains éléments. Il me faut une tête vide seulement tendue vers cet impalpable qui donne envie de continuer, de tenter dire encore. C’est très long pour moi la peinture.
J’ai fui la ville et ses continuelles confrontations, peut-être ai-je fui les hommes aussi à me réfugier dans l’ancrage, dans la permanence du rythme des saisons.

Être brassé par le vent est un de mes plus grands plaisirs.
« A sa manière, chaque artiste vise à nous faire partager sa propre vision de l’amour. La beauté, l’envolée, les champs de blés, le désir, l’étonnement du corps, voilà ce qu’a toujours peint Jean Rougé : un tourbillon cosmique sur un paysage de mondes en fusion. »

Valère Bertrand

« La femme est sublimée,
tout le mouvement créé autour d’elle à travers ces nuées nous la montre libre.
Elle s’élève,
nous échappe,
c’est elle qui nous mène à la lumière.
Sensuelle, inaccessible,
inoubliable telle une passante. »
Anna Ferrero

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